Mois : août 2023

Avocat collaborateur trilingue allemand / anglais / français (H/F)

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• Recruteur : Sagasser Selas
• Publié : 30/08/2023

• 
  Région :
  
  75 (Ile de France)

Le Cabinet Sagasser est un cabinet d’avocats d’affaires international qui accompagne ses clients dans la conduite de leurs projets professionnels, sur le plan juridique et fiscal. Le cabinet a développé une expertise particulière en fusion-acquisition, private equity, droit des sociétés, fiscalité, restructurations, droit immobilier, financement, droit des affaires en général.

Le Cabinet Sagasser travaille en étroite coopération avec les cabinets internationaux de premier plan.

Nous recherchons plusieurs collaborateurs (H/F) en transactionnel (M&A, immobilier) et en fiscalité, parfaitement trilingue, avec un profil idéalement natif allemand, admis au barreau comme Rechtsanwalt en Allemagne ou Avocat en France et avec une expérience professionnelle d’au moins 2 ans. 

Votre fonction :

Au sein d’une équipe à taille humaine intervenant sur des dossiers particulièrement techniques, vous aurez l’opportunité de développer vos connaissances en fiscalité, droit de sociétés et droit immobilier pour une clientèle internationale (notamment germanophone) et de voir vous proposer une véritable évolution quant à votre autonomie. 

Missions :

• 
  conseil de sociétés et fonds d’investissement français pour des clients internationaux ;
• 
  structuration des modalités d’acquisition dans le domaine immobilier, organisation du financement ;
• 
  rédaction de contrats d’acquisition, de garanties d’actif et de passif, de due diligence reports, de lettres d’intention… ;
• 
  suivi du droit de sociétés (préparation de l’AG annuelle, transformations, modifications statutaires, émission de valeurs mobilières) ;
• 
  conseil en gestion de patrimoine pour nos investisseurs privés ;
• 
  assistance de gros clients en matière de fiscalité personnelle et d’entreprise ;
• 
  étroite coopération avec les avocats et fiscalistes des bureaux allemands.

Votre profil:

Vous disposez d’une expérience d’au moins 2 ans idéalement acquise au sein d’un département M&A, immobilier ou fiscal d’un cabinet d’avocats international reconnu sur la place. Vous êtes parfaitement à l’aise en anglais, allemand et français. 

Qualités :

• 
  grande rigueur ;
• 
  très bonnes qualités rédactionnelles ;
• 
  autonomie ;
• 
  créativité ;
• 
  persévérance ;
• 
  hu milité, simplicité et bonne humeur.

Ce que nous offrons :

• 
  une bonne rémunération (Fixe + Bonus) ;
• 
  des possibilités d’évolution au sein des bureaux français, allemands, et d’autres bureaux partenaires à l’étranger.

Merci de bien vouloir envoyer votre candidature à l’attention de Mme Karin Samonikov au cabinet Sagasser Selas, 79bis Avenue Marceau, 75116 Paris, ou par courriel .   

Le Cabinet Sagasser est un cabinet d’avocats d’affaires international qui accompagne ses clients dans la conduite de leurs projets professionnels, sur le plan juridique et fiscal. Le cabinet a développé une expertise particulière en fusion-acquisition, private equity, droit des sociétés, fiscalité, restructurations, droit immobilier, financement, droit des affaires en général.

Le Cabinet Sagasser travaille en étroite coopération avec les cabinets internationaux de premier plan.

Nous recherchons plusieurs collaborateurs (H/F) en transactionnel (M&A, immobilier) et en fiscalité, parfaitement trilingue, avec un profil idéalement natif allemand, admis au barreau comme Rechtsanwalt en Allemagne ou Avocat en France et avec une expérience professionnelle d’au moins 2 ans. 

Votre fonction :

Au sein d’une équipe à taille humaine intervenant sur des dossiers particulièrement techniques, vous aurez l’opportunité de développer vos connaissances en fiscalité, droit de sociétés et droit immobilier pour une clientèle internationale (notamment germanophone) et de voir vous proposer une véritable évolution quant à votre autonomie. 

Missions :

• 
  conseil de sociétés et fonds d’investissement français pour des clients internationaux ;
• 
  structuration des modalités d’acquisition dans le domaine immobilier, organisation du financement ;
• 
  rédaction de contrats d’acquisition, de garanties d’actif et de passif, de due diligence reports, de lettres d’intention… ;
• 
  suivi du droit de sociétés (préparation de l’AG annuelle, transformations, modifications statutaires, émission de valeurs mobilières) ;
• 
  conseil en gestion de patrimoine pour nos investisseurs privés ;
• 
  assistance de gros clients en matière de fiscalité personnelle et d’entreprise ;
• 
  étroite coopération avec les avocats et fiscalistes des bureaux allemands.

Votre profil:

Vous disposez d’une expérience d’au moins 2 ans idéalement acquise au sein d’un département M&A, immobilier ou fiscal d’un cabinet d’avocats international reconnu sur la place. Vous êtes parfaitement à l’aise en anglais, allemand et français. 

Qualités :

• 
  grande rigueur ;
• 
  très bonnes qualités rédactionnelles ;
• 
  autonomie ;
• 
  créativité ;
• 
  persévérance ;
• 
  hu milité, simplicité et bonne humeur.

 
Ce que nous offrons :

• 
  une bonne rémunération (Fixe + Bonus) ;
• 
  des possibilités d’évolution au sein des bureaux français, allemands, et d’autres bureaux partenaires à l’étranger.

 
Merci de bien vouloir envoyer votre candidature à l’attention de Mme Karin Samonikov au cabinet Sagasser Selas, 79bis Avenue Marceau, 75116 Paris, ou par courriel .   

Shayela Nasrin says that days after Sharif Rahman’s death, she still sometimes feels as if she’s moments away from hearing the familiar sound of her husband opening the front door and coming home from work.

Before long, though, the reality that her and her daughter will have to navigate the rest of their lives without the Owen Sound, Ont., restaurant owner and community volunteer sets in.

« In every corner of the house, I can feel him, » said Nasrin.

Rahman, 44, died Thursday after spending time on life-support in a London, Ont., hospital. According to Owen Sound police, he was attacked Aug. 17 by three male patrons in a dispute over an unpaid dining bill. His funeral was held Sunday.

Rahman’s death is being investigated as a homicide and police are still searching for the three male suspects.

« They just destroyed a beautiful family. We just started our beautiful family, » Nasrin said.

The family moved to Canada from Bangladesh roughly 10 years ago. A few years later, they settled in Owen Sound, where Rahman opened The Curry House and shared his passion for food with his new community.

« He tried to give his best at the restaurant — always. He cooked with love and passion, not only for me and my daughter, » said Nasrin.

Rahman was an incredibly hard worker who was heavily involved in the community, always lent a hand to those in need and loved to provide food to those without, Nasrin added.

Daughter left without father

As police investigate and the community rallies around her family, Nasrin now looks to her six-year-old daughter, Shaikha, to whom she has to explain why she’ll never again be able to eat her father’s food, hear his voice or see his smile.

« She’s not expressing that much, but she knows what happened to daddy, » said Nasrin.

« When she was spending the last moment with daddy at the hospital before the life-support was taken off, she was telling me, ‘Why does it have to be my dada? Why did people do that do my dada? Why did dada go out instead of calling 911?’ »

Shaikha has told her mother twice that no food she’s eaten has tasted good since her father died.

« How much pain is inside her? » Nasrin said.

Community support ‘amazing’

On Sunday, hundreds of people lined the streets of Owen Sound to pay respects during Rahman’s funeral 10 days after the fatal assault, displaying a level of solidarity Nasrin never expected to see.

« I’m getting support from the whole community, not just the Muslim community, » she said. « It’s amazing. »

People showed support for Rahman’s family in the days following his assault, and later his death, with flowers and messages on his storefront, as well as a silent vigil and drum circle. Messages of support and love have also flooded social media feeds since the attack.

« You can imagine how dedicated he was to the community. That’s why he got all this love from people, » said Nasrin.

Sikander Uman knew Rahman’s propensity for giving back to the community well, and also knew Rahman personally.

Uman, a leader with the Owen Sound Muslim Association, said the level of support he’s seen is unprecedented.

« I have personally been here now over 35 years, and I feel that at least now I can say, hey, there are people supporting me just as much as anybody else, » Uman said of the community’s backing following the attack on Rahman.

« We saw them lining up the streets, coming out for the vigil. It gives a sense of relief. Muslims in most communities are looked at as the others, especially in a smaller place. »

Suspects at large, but hope remains

Police have been unable to provide updates on their investigation into Rahman’s death, but have said they are still looking for the three suspects — two of them described as being in their mid-20s to mid-30s, and the other believed to be in his late 40s to mid-50s..

« I have correspondence that I think [police] probably have more information than we are told, » said Uman. « I think it’s a matter of time. »

Arrests won’t fill the void left behind in the lives of Nasrin and her daughter, but may provide a sense of closure.

« Deep in my heart, I believe they will get caught. Sharif will get justice. I want justice for my husband, so my daughter can feel that, yes, justice is there for her daddy. »

L’Ordre national des avocats de Tunisie (ONAT) a déploré le décès de son ancien président, Hedi Triki, qui a tiré sa révérence, ce samedi 26 août, à l’âge de 75 ans.

Dans un faire-part publié samedi, l’ONAT a rappelé que le défunt avait occupé le poste de directeur de l’Institut supérieur de la profession d’avocat ainsi que le poste de secrétaire général de l’ONAT.

Le défunt, qui était membre du Conseil de l’ordre durant plusieurs mandats, est l’un des figures de la profession d’avocat en Tunisie, ajoute l’ONAT.

L’avocat Hedi Triki est né à Sfax le 11 avril 1948. Il a exercé la profession d’avocat pendant 44 ans.

Avec TAP

Le cabinet Goldwater Dubé agrandit son équipe avec l’arrivée de l’avocat Me Daniel Romano, spécialisé en droit familial et en droit international privé.

Avant de rejoindre le cabinet, Me Romano a travaillé comme associé pendant plus de 16 ans chez Kalman Samuels.

« J’ai quitté mon ancien cabinet pour faire face à de nouveaux défis. J’ai choisi de rejoindre Goldwater Dubé puisqu’ils sont les plus reconnus en droit familial. Je connais aussi Me Anne-France Goldwater depuis longtemps, puisque j’ai plaidé contre elle à de nombreuses reprises ».

Selon Me Goldwater, « Me Romano apporte de sérieuses compétences en matière de droit international privé, d’enlèvement et de blessures corporelles. Il est un excellent candidat, un polyglotte brillant et audacieux qui ajoute le japonais à la liste croissante des langues servies par notre cabinet ».

C’est son soutien aux réfugiés ukrainiens qui a particulièrement touché ses nouveaux collègues chez Goldwater, Dubé. En effet, Me Romano a offert des services juridiques pro bono aux nouveaux arrivants afin de faciliter leur transition au Québec. Sa femme et lui ont également accueilli plus d’une douzaine de réfugiés incapables de trouver un logement.

« Les gens viennent me voir avec de sérieux problèmes et j’ai les compétences et la passion pour les résoudre. Ma mission a toujours été d’aider mes clients à surmonter leurs conflits avec le plus d’efficacité et de compassion possible », soutient-il.

Depuis qu’il est arrivé dans ses nouvelles fonctions, l’avocat mentionne qu’il doit s’habituer à la nouvelle technologie utilisée dans le cabinet.

« Je m’adapte le plus possible aux outils technologiques utilisés ici. Dans mon ancien cabinet, nous n’avions pas ce genre de technologie, je ne savais même pas que ça existait! Ça facilite beaucoup plus mon travail », dit-il.

En plus d’avoir travaillé en droit, Me Romano s’est lancé dans le monde de l’entrepreneuriat. Il a fondé des entreprises autour du financement des PME et de la team-building corporative.

Polyglotte

Les aventures de Me Romano l’ont fait voyager à travers le monde, lui offrant ainsi l’opportunité de se développer professionnellement au Japon, en Israël ainsi qu’aux Philippines.

Daniel Romano parle cinq langues. Le français, l’anglais, l’espagnol, l’hébreu et le japonais. Il a habité dans de nombreux pays dont la France, Israël, les États-Unis, le Brésil, le Japon, l’Allemagne, les Philippines, Hawaii et le Canada.

« Mon père parle sept langues. Il a été traducteur pour les Nations Unies. Je pense que mon amour pour les langues vient de là », pointe-t-il.

Il a choisi de pratiquer au Québec, pour rejoindre sa mère québécoise et son frère qui sont tous les deux situés à Montréal.

« Ça fait maintenant 30 ans que je suis au Québec. Je pense qu’il y a de quoi célébrer! », avoue-t-il.

Les arts martiaux

En plus d’avoir développé un amour pour le droit, Me Romano a cultivé une passion pour les arts martiaux.

« J’ai enseigné le taekwondo et l’aikido en Floride, à Israël et surtout à Hawaii. Maintenant que je suis avocat, je n’ai plus le temps de me consacrer professionnellement aux arts martiaux. Je fais tout de même un peu de karaté pendant mes heures de dîner au cabinet », mentionne-t-il.

En avril dernier Me Romano a remporté la deuxième place au Championnat de Karaté de Shihan André Gilberrt 2023, le plus grand tournoi de ce type en Amérique du Nord.

Daniel Romano détient un baccalauréat en droit de l’Université McGill, un baccalauréat en philosophie, un diplôme en Arts libéraux de l’Université de Floride ainsi qu’une maîtrise en études asiatiques de l’Université d’Hawaii.

Il a complété l’examen du barreau de New York en 1995 et est membre du Barreau du Québec depuis 2007.

AFP

Près de Paris, trois morts dont deux adolescents et des blessés dans l’incendie d’un immeuble

Au moins trois morts dont deux adolescents, de nombreux blessés et des habitants traumatisés: un incendie s’est déclaré samedi dans un immeuble d’habitation de 12 étages à L’Île-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), près de Paris, provoquant un lourd bilan.Le feu a pris peu avant 10h00 au 9e étage et s’est propagé jusqu’au sommet d’un immeuble en briques apparentes de la cité Maurice Thorez, au coeur de cette île-commune insérée dans un méandre de la Seine, au nord de la capitale. »A l’heure actuelle, le bilan victimaire est de trois personnes décédées, 19 blessés en urgence relative », a déclaré à 15h00 devant la presse Isabelle Pantèbre, préfète déléguée à l’égalité des chances à la préfecture de Seine-Saint-Denis. »Une cinquantaine de logements » ont été « impactés », a-t-elle ajouté, la préfecture évoquant dans un communiqué « une centaine » de personnes « impliquées ». D’après le parquet de Bobigny, sollicité par l’AFP, les trois victimes sont une adolescente qui s’est défenestrée, une femme née en 1976 et son fils né en 2009. Parmi les blessés, 15 habitants ont été transportés en milieu hospitalier et quatre pompiers ont été légèrement blessés, selon la même source. Une enquête pour « recherches des causes de la mort » a été ouverte et confiée au service de police judiciaire du département, a indiqué le parquet, précisant n’avoir pour l’heure « pas d’informations précises sur l’origine de l’incendie ».  »Le feu est éteint, notre priorité est la prise en charge des victimes », a annoncé vers 15h00 un capitaine de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). Il a décrit un « engagement éprouvant » pour les équipes, qui ont procédé à au moins « huit sauvetages de personnes bloquées dans les étages ». Un important dispositif de secours et de lutte contre l’incendie a été déployé, mobilisant environ 200 sapeurs-pompiers appuyés par 60 engins.Les autorités de la petite ville de quelque 8.000 habitants ont transformé un gymnase en site d’accueil des habitants concernés par le sinistre. Un centre d’appui psychologique a été mis en place par la préfecture. »Profonde émotion en pensant aux familles des trois victimes », a déclaré sur X, anciennement Twitter, le ministre délégué chargé du Logement, Patrice Vergriete. Sur le même réseau, la secrétaire d’État chargée de la Ville, Sabrina Agresti-Roubache, a annoncé se rendre sur place, où elle est attendue vers 19h30.- Rénovation programmée -En septembre 2021, un incendie non meurtrier s’était déjà déclaré dans la cage d’escalier de la même tour selon Jacques Paris, adjoint au maire chargé du patrimoine et de l’espace public. Depuis, les immeubles ont été rachetés par le bailleur social Seine-Saint-Denis habitat. »On avait exigé que le repreneur fasse des vraies rénovations » de cette cité « qui date du début des années 1970 » et « n’est plus aux normes actuelles », a-t-il expliqué. Sa « rénovation lourde » était « programmée », a ajouté M. Paris auprès de l’AFP. La préfète Pantèbre a indiqué que « l’enquête (était) en cours sur l’état du bâtiment ». « Un architecte est en train d’expertiser le bâtiment pour savoir si les habitants pourront être relogés ce (samedi) soir », a-t-elle ajouté. Dans la cité Thorez, l’émoi était palpable parmi la soixantaine d’habitants réunis à l’extérieur. D’après certains d’entre eux, une salle, au rez-de-chaussée d’un bâtiment voisin, a été réservée pour l’accueil des corps des personnes décédées. Un homme en est ressorti en pleurs, pris en charge par des proches. »Quelqu’un à l’intérieur m’a appelée et j’ai appelé ma famille. Tout le monde est sorti par les escaliers à part les gens du 10, 11, 12 qui ne pouvaient pas sortir », raconte à l’AFP Jehovana Mvula 21 ans, étudiante infirmière, assise sur un bloc de béton à proximité de l’immeuble. D’après elle, c’est le quatrième incendie depuis 2014. »On est sortis tout de suite », confirme son père, Maurice Mvula, qui habite au huitième étage. « Il y avait des très grosses fumées », ajoute ce menuisier à la retraite. »Je suis descendu et j’ai frappé aux portes, il n’y avait ni alarme qui a sonné, ni rien. C’est le bouche-à-oreille » qui a permis de prévenir les habitants, témoigne à leurs côtés Roger Okitachungu, qui se dit « traumatisé ».meh-aje-aco/bfa/alc

Mais outre la signalisation jugée trompeuse, un autre aspect fait surface : les procès-verbaux. Alex, habitant de Schepdael, emprunte la chaussée tous les jours depuis des années. “Je suis toujours passé à 50 km/h”, nous raconte-t-il. Jusqu’au mois dernier. Un PV arrive dans sa boîte aux lettres : 48 km/h, corrigé à 42. Stupéfaction. “J’ai protesté. J’espérais une explication, une photo du flash par exemple.” Des demandes restées lettre morte.

”Le PV est mal rédigé”

Son avocat, Bruno Gysels, pointe toutefois une “irrégularité” dans le PV : l’absence de direction. Un détail qui n’est pas anodin car selon la direction, il est possible de rouler à 30 ou 50 km/h. Le PV, que nous avons pu consulter, ne fait effectivement état que de la mention suivante : “chaussée de Ninove, carrefour boulevard Louis Mettewie”.

”Le PV est mal rédigé, irrégulier”, constate l’avocat, qui pointe un “amateurisme” et une “opacité totale” du parquet en ne donnant pas davantage d’informations au verbalisé à la suite de sa demande. “Si le conducteur paie, cela laissera un sentiment d’injustice. S’il ne paie pas, il peut se retrouver devant le tribunal pour rien. Il est lamentable que le sens ne soit pas indiqué. D’autant plus que, selon le sens, la vitesse n’est pas la même.”

Au moment d’écrire ces lignes, Alex était toujours en plein dilemme : payer ou continuer les poursuites devant le tribunal.

La France fait marche arrière sur les radars-tronçons: ils disparaissent peu à peu, voici pourquoi